Introduction

Avant d'étudier en détail le projet relatif à l'avenir de notre pays, je crois qu'il est nécessaire de faire tout d'abord, un bref rappelle sur l'évolution du monde.
En effet, si de nos jours la liberté d'expression paraît banale et normale, il ne faut pas oublier que dans l'histoire du monde il n'en a pas toujours été ainsi et qu'il a fallu bien des luttes sociales et bien des combats politiques pour assurer l'existante et le respect.

Nous constations que ce principe, fondamental dans une démocratie est encore bien souvent bafouillé dans beaucoup de pays.
On peut dire, durant des siècles, sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société, l'inexistante démocratie.
Il est donc un peu surprenant de constater qu'avec le temps cette autorité très stricte de la démocratie.
Il faut savoir aussi que durant toutes ces années le citoyen d’aujourd’hui, c'est à dire de l'an deux mille neuf n'a plus aucune idée de ce qui étaient à cette époque là, avec Dun côté l'opinion publique en deux camps, le vote d'une loi sur la liberté et l'expression avec ses implications de la démocratie n'était pas chose facile.
Par ailleurs, de nombreux débats et travaux sur tous ces problèmes de liberté d'expression, le pouvoir passe, mais les problèmes demeurent.
L'an deux mille neuf, le thème l’immigration, nation, démocratie, droit de l'homme, histoire, religion, culture, racisme, la reforme du code de la nationalité, justice, délinquance, sécurité, emploi, l’exclusion, banlieue,

Aujourd'hui; c'est une grande ambition avec des questions sur l'économie européenne e pour les pays non communautaires l'effort des entreprises industrielles reste sur les cités défiscalisées, en soutenant l'économie extérieure en faisant bénéficiera concurrence, en adaptant le travail clandestin et la main-d’œuvre facile de l'enfant de 4ans à 10ans, dans des pays sous développés, qui se traduit par la famine et de préserver sa dignité liée à la famille.
Que la société doit jouer un rôle qui va permettre de maîtrisé cette concurrence et l'équilibre d'une économie technique avec un atout mondial, car la terre appartient à sans aucun doute ethnie pour eux et pour leur enfants qui se confirme au fil du temps.
Offrir une logistique complète aux profits des compétences technologiques qui correspondent aux défis du troisième millénaire.
En effet, l’enjeu réel de ce projet s'adapte pour l'avenir de l'immigration de demain avec ses ambitions combatives, d’échanges commerciaux  permet d'affirmer ses ambitions.
Pour cela, la communautés et bouleversée comme aux temps ancien, que ce soit de la part du pays d'accueil et l'incertitude de la compétence de beaucoup d'hommes et de femmes ou la différence à l'égard des problèmes qu'ils ont en charges de l'immigration, c’est dans ce conteste pour protéger des émigrés français et européen qui ne renvoi que l'image d'un miroir qui à terme n'est jamais très déformant de l'existante que chacun entend apporter un passé avec des bases concrétisées à son cadre de vie.

Ces cycles sont le signe à la fois de la mondialisation des échanges de la flexibilité et des surcapacités.
Le mouvement va continuer, car la mondialisation. Dans les pays riches, part des dépenses consacrées au coût de la vie à la baisse régulièrement. Se conjugue à la quasi disparition de l'inflation dans ses pays et aux surcapacités mondiales, ce phénomène tire les prix à la baisse.
On assiste donc à une course au bas de gamme, ce qui contribue à dégouter la société est de plus en pus cantonné son rôle premier de rêver.


LE DROIT DE L’ HOMME

 

Les mauvais traitements et pression physique modérée, ou véritable torture, sous ce titre, ayant décidé de poser la question à l’opinion publique international, d’information sur les droit de l’homme dans les territoires occupés.

La fin de l’absolu tabou moral contre la torture : certes, présente encore les auteurs du rapport, dans l’autres pays du monde le problème de la torture est plus grave et les méthodes de coercition appliqué notamment en Israël , Syrie, en Irak et en Iran (etc.)… sont les plus belle brutales et plus largement employées, reconnaît également que la mémoire des victimes n’est pas toujours exacte, qu’elles peuvent être suspectées d’exagérations pour raison politiques et qu’il ya rarement de preuves autres que les confessions de détenus.

Reste que sur la base de la consistance considérable des témoignages et sur la foi des rapports établis par d’autres organisations de défense des droits de l’homme, une information réclame avec vigueur une enquête immédiate, que des personnes sont mortes en détention, dont des circonstances directement ou indirectement liées aux méthodes d’interrogation. Laisse désormais aux services des services de sécurité la latitude dans le cas précis d’activités terroristes hostiles ou de sur version politique illégale aux termes des lois ou des territoires.

 



LA NATION 

 

LA DIMENSION COMMUNAUTAIRE AUCUNE NATION NE PEUT NAÎTRE D’UNE SUMPLE VOLONTE POLITIQUE.

 

Il y a en effet une ambiguïté, sur laquelle joue quelques fois eux qui parle de réveil des nations ou ceux qui reconnaissent une existence d’une nation.

Une ethnie appelée nation la révolution n’a pas nécessairement d’expression politique, elle désigne un groupe d’individus qui ont conscience d’avoir des origines, une histoire, un destin communs grade la volonté d’affirmer leurs unités et leurs solidarités.

Cette conscience peut être fondée, selon les cas, sur une religion, une langue ou une culture commune.

Depuis la révolution la politique ne correspond jamais tout à fait à une ethnie ou bien ne rassembler qu’une partie d’une ethnie ou la seule exception concerne l’étranger, où l’ethnie nation se confondent.

Les formes concrètes de la nation comportent à la fois un projet et une organisation politique, et une adhésion de type communautaire, même si, selon les pays, l’accent est plus ou moins, mis sur l’une ou l’autre dimension.

Le consensus politique, dans le quel le respect de la constitution joue un rôle essentiel, laisse subsister les groupes d’origine nationales sous la forme de communauté culturelles ou du groupe ethniques.

Les frontières ne sont jamais naturelles, elles sont toujours le produit d’une histoire. LeLE DROIT DE L’ HOMME

 

Les mauvais traitements et pression physique modérée, ou véritable torture, sous ce titre, ayant décidé de poser la question à l’opinion publique international, d’information sur les droit de l’homme dans les territoires occupés.

La fin de l’absolu tabou moral contre la torture : certes, présente encore les auteurs du rapport, dans l’autres pays du monde le problème de la torture est plus grave et les méthodes de coercition appliqué notamment en Israël , Syrie, en Irak et en Iran (etc.)… sont les plus belle brutales et plus largement employées, reconnaît également que la mémoire des victimes n’est pas toujours exacte, qu’elles peuvent être suspectées d’exagérations pour raison politiques et qu’il ya rarement de preuves autres que les confessions de détenus.

Reste que sur la base de la consistance considérable des témoignages et sur la foi des rapports établis par d’autres organisations de défense des droits de l’homme, une information réclame avec vigueur une enquête immédiate, que des personnes sont mortes en détention, dont des circonstances directement ou indirectement liées aux méthodes d’interrogation. Laisse désormais aux services des services de sécurité la latitude dans le cas précis d’activités terroristes hostiles ou de sur version politique illégale aux termes des lois ou des territoires.

s grandes institutions par lesquelles s’était constituée et maintenue la nation sont remises en question, parce que les modes d’intégrations des sociétés modernes ont évolué. L’intégration n’est plus seulement le produit de la conformité des comportements individuels aux normes imposées par les institutions nationales. Elle est d’abord fondée sur le partage des mêmes valeurs et l’invention commune de modèle et de comportement. Le mode d’intégration risque de laisser décentraliser toutes ces populations qui n’ont pas les moyens socialement constitué de participer à l’élaboration de la vie collective. Il suppose que soit profondément intériorisé le sens de la valeur des normes communes. Il risque toujours d’exclure les individus es plus modestes. Le développement économique est la protection sociale sont le succès indéniable des sociétés européennes, mais ils comportent un effet pervers pour la nation elle-même, si l’activité économique absolue les ressources et les énergies aux dépens de la volonté politique.

Malgré tout, la nation reste le lieu privilégié de la légitimité politique. Elle garde une valeur identique, elle incarne la mémoire collective et la continuité historique.

L’Europe ne la remplace dans le rôle, c’est au niveau national pas au niveau européens qui se traduit le besoins d’expression collectives.

 

Ce n’est pas un hasard si tous les pays magrébin gardent une volonté politique allant jusqu'à l’engagement militaire.

Tout individu à une nationalité : La France à assuré avec succès l’acculturation des étrangers, dont aussi l’intégration réussie des jeunes français d’origines émigrée. Mais victimes d’une xénophobie passive, ils ont contribué, cette question est l’une de celles qu’examine avec minutie aux sens large. C’est-à-dire ces demandeurs du droit d’asile, à la différence du travailleur étranger, qui continu de dépendre de son propre pays, le réfugié est un infirme du national, puisqu’il a perdu la protection de son état d’origine. La tyrannie du national, cette tyrannie c’est établie au moment où c’est mis en place dans la plupart des pays industrialisés une politique protectionniste. Toute fois à double tranchant. Elle favorise l’intégration de ce qui sont accueillis dans la communauté national, mais elle accentue aussi de ce qui en sont tenus à l’écart, qui redoute la communauté européenne se bâtir selon le même modèle, celui d’un nationalisme clos.

En France, où la xénophobie tue, le nationalisme est de mauvais goût et le patriotisme ridule. Cependant l’étranger éprouve plus fortement qu’ailleurs le mépris et ce projet qui lui inflige une civilisation sûre d’elle-même et d’autant plus contracté quel se sent humiliée sans compter dans les quartiers, se replie sur son << quant-à-su>> discrète, mais soucieux d’affirmer ses valeurs la nation n’est pas mort qui l’en blâme devant la renaissance de l’esprit national, et ignorer c’est danger ni la difficulté de vivre dans les ghettos en européen. J’affirme néanmoins qu’il existe des idées qui peuvent constituer la version optimale de la nation dans le monde contemporain.

L’idée qui s’inspire des lumières, se réalise dans le pacte juridique et politique des individus libre et égaux.

L’exigence la mise en valeur des droits particuliers ceux des ethnies, avec leurs croyances religieuse, tout autant que leur transaction dans l’ensemble laïque de la nation, où ces différences, reconnues, cependant devant l’intérêt général, l’esprit général. Cette équation et de culturel, qui dégénère souvent en élitismes et en mérite au détriment de la solidarité, à néant – moins l’avantage de stimuler la mise en forme et la mise en pensée. Cette nation actuelle peut-elle résister devant la montée du nationalises romantique, voir xénophobie, qui se coup la communauté européenne sous les existantes démocratiques légitimes qui se confond avec xénophobie l’expansionnisme religieux dans beaucoup du monde. Le produit mythique de la religion musulmane par delà, spécificité culturelle, économique et politique. Un tel- pessimisme aura l’avantage de reconnaître xénophobie et identifier les pulsions xénophobes.

Les masses d’avantage que ne les attirerait, l’abstraction imputée au modèle national et européen, issue des lumières. Cependant, si les masses aiment le faciès c’est une raison d’abandonner le combat, prenant plutôt l’avantage à la sérieuse violence de désir de différence. On peut craindre, en effet, qu’une période de prétention et de nationalisme et de conflit entre des nations spécialisés menacent certaines parties européennes et surtout les pays dit en voie de développement.

Les pays développés contre l’actuel, transitionnel et culturel n’en restera pas moins un objectif que la société a désormais la maturité économique et une politique élaborer elle-même, mais aussi de maintenir vivant pour ce reste du monde.

 

Pourquoi pas. Qu’il soit permis à un étranger de partager cet espoir.

 

L’esprit critique et souvent l’auto dépréciation et la haine de soit. Quand ils ne se prennent pas eux même pour cible en proclamant leur propre mort, c’est la tradition nationale et tout spécialement les lumières qui deviennent des objets privilégiés de démolition.

 

Le droit de participation des étrangers est un droit de participation à ces pays d’accueils. Les citoyennes et citoyen européens n’en a-t-il pas conscience ? Il convient de leur restituer, au besoin de la créer à partir de la tradition, et de son nécessaire, la transformation par l’actualité.

L’intégration que les étrangers eux même demandent connaissent et apprécient cet esprit général et européens dans lequel ils semblent souhaiter prendre leurs place.

 

Il n’est pas exclu que les avantages abstraits de l’universalisme s’avèrent supérieurs aux bénéfices concrets car l’immigration que nous sommes tous en nous-mêmes, et par rapport au autres, cet échanges pourra amplifier et enrichir l’idée de ‘européen d’accueil, l’idée fragile et cependant d’une liberté incomparable, qui pourraient être demain un recours dans la recherche de nouvelles formes de communauté entre l’individu diffèrent et libres.



LES NOUVEAUX PAUVRES QUI SONT EN RUPTURE AVEC LA SOCIETE :

 

Les nouveaux pauvres sont des exclus de notre société et de la richesse mais secrète parallèlement une forme de misère qui entraîne par une perte d’emploie, une rupture sentimentale, problème de famille. Alors on cherche un coupable psychologique dans l’alcool ou drogue et prostitution, ils sont de plus nombreux à errer Aux coins des rues.

 

Si la politique européenne n’à pas l’obligation légale en matière de lutte contre cette nouvelle pauvreté et même si elle n’est pas inscrite dans son programme Européen, dans ses conditions, l’ignorance n’est pas compétente de la misère dans l’avenir, elle ne peut rester indifférente à la vie de ces gens qui sont de passage sur cette terre et par un paradoxe, des pays aussi développés.

 

Ce n’est pas un dispositif de ce type humanitaire extrêmement involontaire dans des grandes villes ou la vague de froid qui sévit en matière européenne pour octroyer un aménagement adapté dans les métros pour une nuit froide, c’est uniquement l’hiver.

 

Mais cette souffrance morale, c’est toutes l’année, c’est dur de se priver de ses obligations citoyennes.

 

LA REFORME DU CODE EUROPEEN LA BONNE CONDUITE :

 

Vous pouvez avoir l’impression qu’on vous désigne comme la cause de tout ce qui ne va pas dans ces pays.

 

Jour après jour, se constitue en effet, un redoutable puzzle qui tend à désespérer des millions de femmes et hommes qui ont e teint un peu plus foncé et les cheveux un peu plus frisés que les autres habitants.

 

Qu’ils soient légalement Européen où étrangers importe peu, pour leurs malheurs : c’est leurs origines, leurs provenances, leur sales gueules qui deviennent un délit putatif.

 

On objectera que tel n’est pas l’intention ni la volonté du législateur.

 

Quand plusieurs gouvernements européens réforment le code européen c’est accepté de durcir son projet sous la pression d’un nouveau parlement européen majoritaire ce sont des étrangers identifiés comme la cible idéale et nul n’aura la naïveté de penser qu’il s’agit qui vont en souffrir puisque leurs visages ne montrent pas de quelles carte d’identité, ils sont détenteurs…

 

Ainsi se crée dans ces pays Européens es plus développés est sollicités, manipulée pour réduire le statut de métèques ou de barbares menaçants la cause de tout ce qui ne va pas rien ne peut être délétère qu’une atmosphère. En effet le risque double. D’une part, il y a celui non négligeable d’isoler, d’exclure, et donc de pousser au désespoir des femmes et des hommes, déjà socialement et économiquement marginalisés qui à force d’être montrés du doigt et désigné à la matraque pourraient être tentés par des actes de révoltes.

D’autre part, il ya celui et c’est le pire de légitimer des pulsions racistes et xénophobes que certain flattent depuis des années.

 

S’agissant du code européen, plusieurs gouvernements soutiennent certes qu’il n’a fait que mettre en harmonie la loi.

 

Quand la communauté européenne enfin, examine un projet de loi, restreignant sévèrement les conditions d’immigration dans des pays européens, ce sont les mêmes toujours qu’on désigne, puisque nul ignore que le flux migratoires qu’il est question de maladie qui provienne pour l’essentiel des européens.

 

C’est une position politicienne de à usage interne. C’est l’annonce d’un arbitraire plus grand que le passé.

 

Ce qui me gêne le plus, c’est le petit nombre de personnes visées par ces projets : cela peut créer une fracture importante dans la société.

 

Je crains que l’on empiète quelque peu sur certaine tradition européenne. L’important est de construire une vie, ensemble autour de la valeur communes. A l’inverse, ces textes semblent faire portée sur les immigrés la responsabilité de certain nombre de problèmes de notre société qui à pour conséquence, leur exclusion alors qu’il faut avant tout favoriser leurs intégration.

 

Il est dérisoire et indécent quand on sait comment sot déjà traités les étrangers dans la communautés européenne d’imaginer qu’on aboutira ainsi à d’autre chose qu’a une réforme grave d’apartheid, psychologique, psychologique.

 

Car les braves gens comme on dit, ne seront pas concernés. Quelques-uns d’entre eux l’ont déjà fait savoir en approuvant bruyamment la réforme du code Européen.

 

La démocratie, c’est protéger les citoyens, protéger les hommes contre lui-même. La réforme du code européen fait très peur car elle peut avoir pour conséquence de légaliser les pulsions des citoyens.

Quand cette loi sera votée, aura le droit pour eux, même pour tenter aux libertés dans ces pays.

 

Nous demandons donc l’abandon de ces projets dans leur état actuel.

 

Il est fondamental de rouvrir ce débat, car nous assisterons à une dérive inquiétante de principe fondamentale qui est le droit du sang, chose que nous ne pouvant pas accepter.

 

Pourtant notre vie démocratique, que tant de peuples nous envient, s’implique telle pas de parler de problème, face à ces questions essentielles, on renvoie généralement sur les roses ces impétueux citoyens qui attendent des politiciens des réponses prises.

 

Tout individu à une nationalité : La communauté européenne a assuré avec succès l’acculturation des étrangers, dont aussi l’intégration réussie des jeunes européens d’origine immigrée.

 

Mais victime xénophobie passive, mais ils vont contribuer.

Cette question est l’une de celle qu’examine avec minute en prenant pour objet principal l’immigration au sens large. C'est-à-dire ces demandeurs du droit d’asile, à la différence du travailleur étranger, qui continue de dépendre de son pays, le réfugie est un infirme national, puis qu’il a perdu a protection de son état d’origine la tyrannie du national.

 

Cette tyrannie s’est établie au moment où s’est mise en place dans la plupart des pays industrialisés un politique protectionniste.

 

Cette mobilisation est une fois à double tranchant. Elle favorise l’intégration de ceux qui sont accueillis dans la communauté nationale, mais elle accentue aussi le rejet de ceux qui en son tenue à l’écart, qui redoute de voir la communauté européenne se bâtir selon le même modèle, celui d’un nationalisme clos.

 

Dans des pays européens, ou xénophobie tue, Le nationalisme est de mauvais goût et le patriotisme ridicule. Cependant l’étranger éprouve plus fortement qu’ailleurs le mépris et ce projet qi lui inflige une civilisation sûre d’elle-même. Et d’autant plus contractée qu’elles se sont humiliées sans compter dans les quartiers se plie sur son quant-à-soi discrète, mais soucieux d’affirmer ses valeurs la nation n’est pas mort en blâme.

 

L’exigence la mise en valeur des droits particuliers ceux des individus, avec leurs singularités et comportements, ceux des familles, avec des nouvelles formes de cohabitation : ceux des ethnies et en mériter au détriment de la solidarité, à néant - moins l’avantage de stimuler la mise en pensée.

 

Le droit d’intégration des étrangers est un droit de participation à ces pays d’accueil.

Les citoyennes et citoyens européens n’en ont pas conscience, il convient de leur restituer, au besoin de créer à partir de la tradition et de sa nécessaire transformation par l’actualité.

 

L’intégration que les étrangers eux même demandent connaissent et apprécient cette esprit général européen dans le quel ils semblent souhaiter prendre leurs places.

 

Il n’est pas exclu que les avantages abstraits de l’universalisme s’avèrent supérieurs aux bénéfices concret car l’immigration que nous sommes tous en nous-mêmes et rapport aux autres, cet échange pourra amplifier et en richesse l’idée des pays d’accueils, l’idée fragile et ce pendant d’une liberté incomparable, qui se trouve aujourd’hui mise en cause par les nationalismes blessés donc agressif, mais qui pourrait être, demain un recours dans la recherche de nouvelle formes de communauté entre l’individus différents et libres.

 

En partie de cette appréciation car elle conserve e côtés généreux de l’immigration tout en rejetant ses contraintes. Les gens ont oublié la signification de l‘immigration, mais i peut devenir une simple bagatelle qui suffit de mettre la mauvaise influence sur l’immigration qui mettent de l’huile sur le feu.



LES COMMUNAUTES RELIGIEUSE DANS LA COMMUNAUTE EUROPEENE 

 

Les communautés religieuses dans la communauté européenne, il est tolérant et pieux, sans tomber dans le piège du fanatisme, nous devons faire appliquer et nous conformer aux lois européennes en vigueur, en vertu de la constitution européenne qui reconnaît la laïcité.

 

Depuis de nombreuses années, avec nos expériences, nous ne cessons de dire à la communauté, cessons d’être manipulés par les divers partis européens, avec l’appui de certain religieux de services.

 

Aux noms des étrangers de la communauté religieuse, vous comptez parmi les fideles, attachés à nos valeurs religieuses, dans le respect des autres croyances.

 

Avec des femmes et des hommes de bonne volonté, nous ouvrirons la défense de vos droits fondamentaux, votre communauté religieuse dans le strict respect des lois en vigueur dans les pays de la communauté européenne d’accueil.

 

L’avenir de votre communauté religieuse est très important dans la communauté européenne, qui est liée de fait la mère patrie la grande communauté religieuse.

 

Seul une union objective avec une base sérieuse, vous permettra de revaloriser vos droits, tant culturels, sociaux-économiques que politiques.

 

La communauté religieuse, joue un rôle important dans l’éducation des jeunes, en attendant de raccorder le tissu social trop souvent déchiré, nous aurons l’occasion très bientôt d’exposer largement les problèmes de l’intégration qui se font jour après jour pour eux, ce sont les responsables de feu qui montent au créneau.

 

Les citoyennes et citoyens ce sont des gens pieux, ne comprennent pas qu’on s’attaque à leur religion, comme toute la communauté religieuse européenne, qui compte des millions de personnes, il son indigne et prêts à descendre dans les rues.

 

Ont indiquent seulement qu’il était nécessaire de procéder à une remise en ordre des attributions de critiquer, lorsqu’il se rencontre au lendemain et-il autant à l’histoire du peuple.

 

 

Y a-t-il un votant ?

Qu’elle est la réponse à a question qui se pose tous ceux qui ont posé la question à la communauté européenne à l’égard d’immigration et au-delà, de la communauté étrangère a pu déconcerter. Rampant avec d’ancienne prudence, il inaugure le premier voyage officiel et les autres analysent aussi le rapport de force, les réalités et les tensions qui divisent parfois les institutions de la communauté européenne et le poids des hommes qui l’ont dirigé depuis des siècles une enquête qui dérange peut-être par sa liberté de temps.

 

 

Voilà en tout cas des aspects inattendu de la personnalité éclaire les relations à la fois privilégiées et conflictuelles qu’il entretient avec la communauté religieuse.

 

Il s’agit d’une mesure discriminatoire à l’encontre d’une communauté européenne, mais aujourd’hui nous n’excluons pas de descendre dans la rue pour faire valoir de nos droits.

 

Non à la disparition d’une religion, d’un culte, d’une culture, d’une ethnie.

 

Il faut arrêter l’esbroufe qui peut aujourd’hui prendre représenter la communauté religieuses très divisée et je suis profondément déçu de défendre les intérêts moraux et économiques et sociaux.

 

D’aucun pensent que derrière cette péripétie, on assiste en fait à une véritable bataille pour le contrôle du marché qui représente la communauté religieuse internationale.

 

Le raï ne serait qu’un prétexte et l’on verrait d’un mauvais œil l’émergence d’initiative indépendante et la montée en puissance d’une conscience communautaire épique de réalisme, soucieuse de s’intégrer efficacement et intelligemment dans le tissu économique et social de la religion.