Hommage

Minot

  Il était Daniel. C'est une immense joie d'avoir fait sa connaissance, chacun d'entre nous connaissez Daniel. Ce Minot  franchit le seuil de voir le pauvre, le malheureux. Etre cet ange qui ignorait le mal, la douleur, qui va se tranformer en bien.

  Il se préoccupait d'avoir la parole de que j'offre ma volonté propre, ma raison de vivre, peut etre plongée dans l'obscurité.

  L'épreuve contitue le plus souvent l'innocence, souriant pour pouvoir raconter l'histoire avec des pièces maitresses, à travers d'une feuille, d'un écrit, avec des difficultés de la vie, les contraignants de partager un passé.

  Cette leçon, afin de comprendre la détresse des autres, de supporter avec patience les injustices, sans opposer et représenter à travers sa passion, d'aider avec succès qu'il pouvait obtenir par la suite avec degré d'attention qu'ils leurs acccordaient, aucun détail ne l'inquiétait guère, d'une obligation, d'un pouvoir sensé déboucher sur un objectif, pour aider, apprendre à croire, à sentir quelque soit sa croyance, au service de l'autre.

Quelques fois il se metttait régulièrement en << colère>> pour les autres.

  C'était un homme de coeur, avec une liberté de la pauvreté.

  D'affirmer l'existence d'un << petit garçon>> qui était plus heureux, appelé à servir les pauvres et  son Désir d'une autre vie consacrée.

  Sa vie est une vie donnée, un don afin d'aider l'autre vie, à prendre un chemin où nous devons accepter de partir et de comprendre sa volonté. De tirer quelque: que l'histoire ratttrape l'indifférence.

  Aujourd'hui je reste seul. Mais de faire entendre à ma raison à ma conscience que tu es part très vite et qui crus ce geste viollent.

  Voilà, Minot ce qu'un vieux papier pour prononcer à haute voix la phrase tout entière                    Daniel Tu vas nous manquer à tous.

 

                                                      Mot de Monsieur Mourad BELARBI

L’ARTISTE

 

 

Un jour, l’indifférence rattrape l’histoire.

J’ai reçu il y a quelque temps, les atours de la réussite et l’évolution de la culture, pour comprendre la détresse des autres, afin de supporter avec patience les injustices sans opposer ni représenter à travers son art, son histoire d’un passé qui produit l’évènement, d’une obligation, d’un pouvoir sensé, de déboucher sur un objectif, pour aider, apprendre à croire, à sentir quelque soit sa croyance au service de l’autre. C’est une immense joie de franchir le seuil, de voir le pauvre, le malheureux. Chacun d’entre nous devrait être cet ange qui ignore le mal, la douleur, qui va se transformer en bien. La parole de dire que j’offre ma volonté propre, ma raison de vivre, peut être plongé dans l’obscurité, l’épreuve constitue le plus souvent l’innocence souriante pour pouvoir raconter l’histoire avec des pièces maîtresses, à travers un tableau, une culture, un écrit, avec les difficultés de la vie les contraignant de partager un passé.

 

La pièce maîtresse d’une identité, d’une personne, de ses origines à travers une œuvre. Dans la liberté de la pauvreté.
De quoi est faite l’œuvre visuelle de l’artiste pour mieux comprendre qu’après l’œuvre spectaculaire de l’artiste à travers le temps et l’espace, nous avons voyagé et sommes revenus indemnes. Affirmer l’existence d’une « petite fille » qui était plus heureuse, appelée à servir les pauvres et son

 

 

 

désir d’une autre vie consacrée. Sa vie est une vie donnée, un don afin d’aider l’autre vie, apprendre un chemin où nous devons accepter de partir.

 

Aujourd’hui pour accomplir cette œuvre de l’artiste, car peut on imaginer que l’on puisse être guidé sur une toile de pinceau, ou d’une plume de l’artiste. L’œuvre fait certes connaître son auteur mais s’éclipse vers la gloire au prix d’une histoire racontée à travers l’œuvre comme une identité talentueuse de l’artiste, inoubliable et ancrée dans la mémoire de l’existence de l’artiste à travers une œuvre eu sein d’une culture de l’artiste.

 

TEXTE DE MONSIEUR BELARBI MOURAD